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A lire : l’article d’Olivier Razemon sur le trottoir dans le Monde d’hier (« Le trottoir, grand oublié des aménagements urbains« ). 

L’illustration de son article nous a rappelé l’oeuvre de l’artiste contemporain Leandro Erlich que nous avions découvert en 2005 lorsque la Galerie Emmanuel Perrotin avait présenté son installation « Le cabinet du psychanalyste », puis son « Bâtiment » au 104, et son « nuage » à la Galleria Continua à Boissy-Le-Chatel, puis sa « swimming pool » à New-York, et bien-sûr sa « maison fond » devant la Gare du Nord. Sans parler de « à travers le miroir ».

Bref, on est une grande fan, et Leandro Erlich figure en bonne place dans nos coups de coeur.

Mais revenons au « trottoir », ou à plutôt à son trottoir, que nous avions adoré lors de l’exposition « Channel Mobile Art » qui s’était tenue à New-York en 2008 dans un bâtiment dessiné par l’architecte Zaha Hadid. Le voici.

(« Vereda » = trottoir, en espagnol)

Pour aller plus loin : la présentation de ce travail dans Trompo et son portrait dans Artefake.

 

Et pourquoi, pour lire d’avenir des villes, il faut regarder le trottoir : c’est ici !

Et pour se balader sur les futurs trottoirs parisiens, c’est !

 

 

 

 

 

 

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