La Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Ile-de-France publie un rapport sur « L’impression 3D : porte d’entrée dans l’industrie du 21ème siècle » : ici.
Nous aurons l’occasion d’y revenir, mais d’ores et déjà, nous t’invitons, cher lecteur, à lire la troisième partie sur les nouvelles chaînes de valeur qui en découlent, et notamment le chapitre consacré aux « modèles économiques de l’impression 3D ».
On notera en particulier 2 bouleversements majeurs :
– la fin des économies d’échelle
– le principe de différenciation retardée, qui accentue le potentiel de « customisation » (voir aussi ici l’implication du consommateur dans la conception de l’offre)
Ainsi, l’imprimante 3D ouvre la voie à des bouleversements majeurs dans les modes de production, mais aussi, peut-être, à une « réindustrialisation de la métropole », comme l’avait évoqué Jean-Louis Missika lors d’une intervention à la Tribune le 14 mai dernier (ici), notant justement que l’impression 3D « consiste à passer de la grande série à la petite série, sans déchets ».
Nous en reparlons aussi mardi prochain, lors de la table-ronde que nous animerons sur les nouveaux modèles économiques urbains dans le cadre de la prochaine journée d’étude de la Cité des Smarts Cities : ici.


